• nosso lar'

     

    superbe film

    Il représente exactement ce que je vois!!!!! lorsque j'y pense!!

    nosso lar

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  • INREES | Sentiments d'éternité - Web documentaire (vidéo)

     

    Les personnes qui ont vécu, des situations similaires, racontez nous, cela m'interresse!!!!

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  • Le jour où je me suis aimé ....


    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai compris qu’en toutes circonstances,
    j’étais à la bonne place, au bon moment.
    Et alors, j’ai pu me relaxer.
    Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
    n’étaient rien d’autre qu’un signal
    lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
    Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    J’ai cessé de vouloir une vie différente
    et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
    contribue à ma croissance personnelle.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai commencé à percevoir l’abus
    dans le fait de forcer une situation ou une personne,
    dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
    sachant très bien que ni la personne ni moi-même
    ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
    personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
    Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
    et j’ai arrêté de faire de grands plans,
    j’ai abandonné les méga-projets du futur.
    Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
    quand cela me plait et à mon rythme.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
    et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
    Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
    Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
    Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
    Et cela s’appelle… la Plénitude.
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
    Mais si je la mets au service de mon cœur,
    elle devient une alliée très précieuse !
    Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.


    par Charlie Chaplin
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  • AIMER LA MAIN OUVERTE
    Cette semaine, en parlant avec un ami, je me suis rappelé une histoire
    que j'ai entendue raconter cet été.
    "Une personne compatissante, voyant un papillon lutter pour se
    libérer de son cocon, et voulant l'aider, écarta avec beaucoup de
    douceur les filaments pour dégager une ouverture. Le papillon libéré,
    sortit du cocon et battit des ailes mais ne put s'envoler. Ce qu'ignorait
    cette personne compatissante, c'est "que c'est seulement au travers du
    combat pour la naissance que les ailes peuvent devenir suffisamment
    fortes pour l'envol. Sa Vie raccourcie, il la passa à terre. Jamais il ne
    connut la liberté, jamais il ne vécut réellement."
    Apprendre à aimer la main ouverte est une toute autre démarche.
    C'est un apprentissage qui a cheminé progressivement en moi,
    façonné dans les feux de la souffrance et les eaux de la patience.
    J'apprends que je dois laisser libre quelqu'un que j'aime, parce que si je
    m'agrippe, si je m'attache, si j'essaie de contrôler, je perds ce que je
    tente de garder .
    Si j'essaie de changer quelqu'un que j'aime, parce que je sens que je
    sais comment cette personne devrait être, je lui vole un droit précieux,
    le droit d'être responsable de sa propre vie, de ses propres choix, de sa
    propre façon de vivre.
    Chaque fois que j'impose mon désir ou ma volonté, ou que j'essaie
    d'exercer un pouvoir sur une autre personne, je la dépossède de la
    pleine réalisation de sa croissance et de sa maturation. Je la brime et la
    contrecarre par mon acte de possession, même si mes intentions sont les
    meilleures.
    Je peux brimer et blesser en agissant avec la plus grande bonté, pour
    protéger quelqu'un. Et une protection et une sollicitude excessives
    peuvent signifier à une autre personne plus éloquemment que des mots :
    Tu es incapable de t'occuper de toi-même, je dois m'occuper de toi parce
    que tu m'appartiens. Je suis responsable de toi.
    Au fur et à mesure de mon apprentissage et de ma pratique, je peux
    dire à quelqu'un que j'aime :
    "Je t'aime, je t'estime, je te respecte et j'ai confiance en toi. Tu as en
    toi (ou tu peux développer) la force de devenir tout ce qu'il t'es possible
    de devenir, à condition que je ne me mette pas en travers de ton chemin.
    Je t'aime, tant que je peux te laisser la liberté de marcher à côté de moi,
    dans la joie et dans la tristesse. Je partagerai tes larmes, mais je ne te
    demanderai pas de ne pas pleurer. Je répondrai si tu as besoin de moi, je
    prendrai soin de toi, je te réconforterai, mais je ne te soutiendrai pas
    quand tu pourras marcher tout seul. Je serai prête à être à tes côtés
    dans la peine et la solitude, mais je ne les éloignerai pas de toi. Je
    m'efforcerai d'écouter ce que tu veux dire, avec tes paroles à toi, mais je
    ne serai pas toujours d'accord avec toi.
    Parfois, je serais en colère, et quand je le serai, j'essaierai de te le
    dire franchement, de façon à ne pas avoir besoin d'être irritée de nos
    différences, ni de me brouiller avec toi. Je ne peux pas toujours être avec
    toi ou écouter ce que tu dis, parce qu'il y a des moments où je dois
    m'écouter moi-même, prendre soin de moi. Quand cela arrivera, je serai
    aussi sincère avec toi que je pourrai l'être."
    J'apprends à dire cela à ceux que j'aime et qui sont importants pour
    moi, que ce soit avec des mots ou par ma façon d'être avec les autres et
    avec moi-même.
    Voilà ce que j'appelle aimer la main ouverte.
    Je ne peux pas toujours m'empêcher de mettre mes mains dans le
    cocon... mais j'y arrive mieux, beaucoup mieux depuis que je me
    respecte aussi.
    Ruth SANFORD

    main ouverte

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